stage ecriture de presse ?
stage ecriture de presse ?
j'ai pris connaissance sur ce site d'un stage d'écriture de presse de 3 jours est ce bien raisonnable quelqu'un à t'il déja fait l'experience et pourrais m'en faire part..
merci
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Est ce un stage de perfectionnement sur un point précis ? ou bien une simple initiation ?
Je ne vois pas vraiment ce qu'on peut apprendre et surtout automatiser comme savoir en trois jours.
Quitte à dépenser son argent, autant investir dans des bouquins qui aident à aguérir sa technique journalistique. Entre les éditions la victoires et cfpj, tu trouveras certainement ton bonheur.
Je ne vois pas vraiment ce qu'on peut apprendre et surtout automatiser comme savoir en trois jours.
Quitte à dépenser son argent, autant investir dans des bouquins qui aident à aguérir sa technique journalistique. Entre les éditions la victoires et cfpj, tu trouveras certainement ton bonheur.
Oh pop pop..! Là, vous faites erreur les gars ! J'ai eu le formateur de ce stage en rédacteur en chef, il y a quelques années, et je vous assure que si aujourd'hui, j'arrive à surnager dans la jungle de la presse, c'est bien grâce à lui. Ce type-là, il a le journalisme ds la peau et sait mettre des mots, sur quelque chose qu'on fait instinctivement. Non, trois jours n'est pas trop peu. COnnaissant le bonhomme, je sais qu'il est capable de donner un condensé de sa "science" en très peu de temps car c'est un excellent pédagogue. D'ailleurs, je vais aller regarder les dates de son stage car je me suis toujours dit qu'une petite piqure de rappel ne me ferait pas de mal !
A très bientôt peut-être,
ISabelle
A très bientôt peut-être,
ISabelle
De plus en plus d'écoles proposent des formationx aux professionnels. Certes, l'investissement que tu dois y consacré est plus grand, mais je doute que l'on puisse obtenir des résultats par un claquement de doigts.
Il y a bien entendu le fameux CPJ, mais ses modules sont un peu trop courts et à la carte à mon goût. Par contre, l'avantage: ils abordent souvent des points très particuliers.
http://www.cfpj.com
A l'esj lille, c'est un peu la même philosophie
http://www.esj-lille.fr
Sinon, tu peux également regarder du côté du Celsa qui propose une formation étalée sur une année (le tout à temps partiel). Certes, cela implique que tu t'accroches mais l'avantage: tu seras suivis à long terme par les intervenants. Ou, au cas où tu ai vraiment peu de temps pour toi, tu peux opter pour la formule "module" (tu suis la ou les matières qui t'interesse).
http://www.celsa.fr/
Le cuej aussi adopte un peu le même point de vue:
http://cuej.u-strasbg.fr
Il y a bien entendu le fameux CPJ, mais ses modules sont un peu trop courts et à la carte à mon goût. Par contre, l'avantage: ils abordent souvent des points très particuliers.
http://www.cfpj.com
A l'esj lille, c'est un peu la même philosophie
http://www.esj-lille.fr
Sinon, tu peux également regarder du côté du Celsa qui propose une formation étalée sur une année (le tout à temps partiel). Certes, cela implique que tu t'accroches mais l'avantage: tu seras suivis à long terme par les intervenants. Ou, au cas où tu ai vraiment peu de temps pour toi, tu peux opter pour la formule "module" (tu suis la ou les matières qui t'interesse).
http://www.celsa.fr/
Le cuej aussi adopte un peu le même point de vue:
http://cuej.u-strasbg.fr
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Je ne parlerai pas de la qualité ni de la somme de connaissances condensable lors d'une formation plus ou moins accélérée ; je souhaite simplement élargir un peu le thème du débat concernant la formation et le niveau des ceux qui paraphent des textes destinés à être publiés dans des parutions de presse, quelle qu'elle soit.
Quel regard avez-vous, professionnels de l'écriture sytématique, débutants et vieux briscards, sur les gens qui font par la force des choses et du hasard un métier comparable au vôtre ?
Prenez un jeune homme plutôt intelligent, très versé dans la lecture, l'écriture, quelque part gendelettre et puriste, toujours premier en rédaction à l'école, qui se retrouve, après quelques pérégrinations estudiantines et une formation ad hoc, dans la peau d'un secrétaire de rédaction.
Il trouve un poste dans un périodique spécialisé dans un domaine qu'il affectionne particulièrement, et comme il s'agit d'une très petite structure, il fait également des comptes rendus dans le canard, sans parler des news, brèves, titraille et tutti quanti. En gros, rien de transcendant journalistiquement, pas d'enquête de longue haleine, de grosse documentation ni de travail d'investigation ; mais bon, le travail est fait le plus consciencieusement possible. Il n'en a que des retours positifs.
Bref, je sais faire des news, des articles de quelques milliers de signes ; je pense savoir saisir la " substantifique moelle " de ce qui fait un article publiable.
Mais je n'ai jamais été véritablement formé pour cela. Je n'ai pas la verve des grands éditorialistes ni des cadors du métier dont les écrits me font envie chaque fois que je tombe dessus ; mais quand je vois les avatars de communiqué d'agences de presse dans les gratuits ou le " pontife qui officie à la grand'messe du 20-heures " éructer de temps à autre sollécisme et impropriété, je me dis que mon niveau de " journaliste " n'est pas si piètre que l'intelligentsia veut bien me le laisser supposer.
Alors quant à me former ou me perfectionner pour aller plus avant dans cette voie, je n'y songe même pas.
Quel regard avez-vous, professionnels de l'écriture sytématique, débutants et vieux briscards, sur les gens qui font par la force des choses et du hasard un métier comparable au vôtre ?
Prenez un jeune homme plutôt intelligent, très versé dans la lecture, l'écriture, quelque part gendelettre et puriste, toujours premier en rédaction à l'école, qui se retrouve, après quelques pérégrinations estudiantines et une formation ad hoc, dans la peau d'un secrétaire de rédaction.
Il trouve un poste dans un périodique spécialisé dans un domaine qu'il affectionne particulièrement, et comme il s'agit d'une très petite structure, il fait également des comptes rendus dans le canard, sans parler des news, brèves, titraille et tutti quanti. En gros, rien de transcendant journalistiquement, pas d'enquête de longue haleine, de grosse documentation ni de travail d'investigation ; mais bon, le travail est fait le plus consciencieusement possible. Il n'en a que des retours positifs.
Bref, je sais faire des news, des articles de quelques milliers de signes ; je pense savoir saisir la " substantifique moelle " de ce qui fait un article publiable.
Mais je n'ai jamais été véritablement formé pour cela. Je n'ai pas la verve des grands éditorialistes ni des cadors du métier dont les écrits me font envie chaque fois que je tombe dessus ; mais quand je vois les avatars de communiqué d'agences de presse dans les gratuits ou le " pontife qui officie à la grand'messe du 20-heures " éructer de temps à autre sollécisme et impropriété, je me dis que mon niveau de " journaliste " n'est pas si piètre que l'intelligentsia veut bien me le laisser supposer.
Alors quant à me former ou me perfectionner pour aller plus avant dans cette voie, je n'y songe même pas.
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