C'est parfois pathétique.
J'ai le souvenir d'un jeune coq, le stylo dressé en guise d'ergot, bondissant sur le râble d'une attachée de presse un peu molle.

A plusieurs reprises, j'ai constaté le furieux manque d'humilité et de courtoisie de pas mal de nos confrères. Du genre à ruer dans les brancards et à toiser l'interviewé qui n'en demandait pas tant. Faudrait quand même pas oublier que jusqu'à il n'y a pas si longtemps, le fruit de notre dur labeur ...

En tant qu'Européen, je me garderais bien de fêter quoique ce soit. Pour une fois qu'on peut souffler.

A propos de dinde aux marrons, on échappe encore à Thanksgiving sous nos latitudes. Croyez vous que le collectifs des éleveurs de gallinacés (pour peu que la dinde en soit) et celui des récoltants de fruits hérissés laisseront encore longtemps passer une occasion de doubler leur chiffre d'affaire co...

Vous n'avez rien compris, le parfum du beaujolais, c'est la bouée de sauvetage qui permet de transformer une biture collective même pas spontanée en rituelle séance de torche respectable.

Le premier marronnier de l'hiver...

Ne riez pas, ça arrive encore dans certaines boîtes où la prière matinale est remplacée par la génuflexion devant le grand patron.
Cela dit, je me demande quel est le pire entre paternalisme et camaraderie (camarderie ?) forcée entre collègues.

J'aime assez celle ci : "Pourquoi acheter un journal quand on peut acheter un journaliste ?" B. Tapie, cité dans Tapie, l'homme d'affaire , Le Seuil, 1994 Celle là n'est pas mal non plus : "Journaliste ? Vous me faites marrer : même les putes ont leur carte de presse !" Patrick L...