Comment je me suis fait berné.
Comment je me suis fait berné.
Faites-vous la différence entre « faire » et « être ». Les acteurs ont certainement cette particularité, mais elle me parait absente de la notion éducative générale.
Il vous est sans doute arrivé d’avoir de la sympathie pour quelqu’un qui vous brocarde, il en serait tout autrement si vous vous rendiez compte que la personne « est » ce qu’elle prononce, et ne « fait » pas une tournure de phrase.
Cela tournerait au cauchemar, et au dégoût, de vous apercevoir qu’il s’agit d’une généralité, produit d’une éducation ou d’un état biologique.
Il en serait de même, pour le sous-entendu, la gestuelle, l’habit, le « respect », ou le relationnel social en général.
La plupart cachent, rejettent, sous des « couvertures » éducatives des tares sociales, ou simplement l’escroquerie sectaire à grande échelle, qui fait des ces considérations des remparts aux bénéfices qu’ils en retirent.
La thèse est simple, c’est que l’état est le premier abus de bien social en puissance, ou l’argent est redistribué pour une part non négligeable, de façon privée et arbitraire, où une certaine « éducation » est la justification de l’acte.
Il est évident que « l’acte débilitant virulent » d’un groupe à l’égard de l’individu, qui vise à le déprécier, l’entraver, l’orienter, de façon organisée ne peut pas être l’ouverture libérale qu’il prétend être.
D’un point de vu local, cela équivaudrait à une balkanisation de l’état.
Il vous est sans doute arrivé d’avoir de la sympathie pour quelqu’un qui vous brocarde, il en serait tout autrement si vous vous rendiez compte que la personne « est » ce qu’elle prononce, et ne « fait » pas une tournure de phrase.
Cela tournerait au cauchemar, et au dégoût, de vous apercevoir qu’il s’agit d’une généralité, produit d’une éducation ou d’un état biologique.
Il en serait de même, pour le sous-entendu, la gestuelle, l’habit, le « respect », ou le relationnel social en général.
La plupart cachent, rejettent, sous des « couvertures » éducatives des tares sociales, ou simplement l’escroquerie sectaire à grande échelle, qui fait des ces considérations des remparts aux bénéfices qu’ils en retirent.
La thèse est simple, c’est que l’état est le premier abus de bien social en puissance, ou l’argent est redistribué pour une part non négligeable, de façon privée et arbitraire, où une certaine « éducation » est la justification de l’acte.
Il est évident que « l’acte débilitant virulent » d’un groupe à l’égard de l’individu, qui vise à le déprécier, l’entraver, l’orienter, de façon organisée ne peut pas être l’ouverture libérale qu’il prétend être.
D’un point de vu local, cela équivaudrait à une balkanisation de l’état.
J'ai pas bien tout saisi
Cher Sacripanard, qu'est-ce que tu veux dire au juste ? Peux-tu employer des tournures moins... métaphoriques, ton message n'en sera que plus clair.
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pas compris
c'est vrai que ton message n'est pas des plus clair; mais peut-être qu'en faite tu voulait juste illuster le message que tu essayais de faire passer.
Qui si j'ai un peu compris concerne les gens qui ne sont pas ce qui paraissent etre, sont ma&lhonnetes et surtout dans ton cas incompréhensible..............................
Qui si j'ai un peu compris concerne les gens qui ne sont pas ce qui paraissent etre, sont ma&lhonnetes et surtout dans ton cas incompréhensible..............................
Re: J'ai pas bien tout saisi
Oui, monsieur Sacripanard, en bon français de chez nous c'est quoi que vous voulez dire à nous ?massalia a écrit :Cher Sacripanard, qu'est-ce que tu veux dire au juste ? Peux-tu employer des tournures moins... métaphoriques, ton message n'en sera que plus clair.
Il est très inhabituel que des personnes très « Bien » aient des ironies déplacées ou répétées à l’égard d’autres personnes « Moins bien ». Il est généralement admis que cela révèle un problème médical personnel, une légère débilité, un trouble de l’individu.
C’est l’exemple de la « franche rigolade », avec l’intention « de », de celui qui suggère, à un ouvrier de déjeuner régulièrement au Ritz, ou de son difficile achat d’un vélo.
En quoi est-ce une débilité légère ? C’est l’équivalent d’un rire sans raison, d’une personne qui ne peut « trouver sa propre image », sa valorisation, qu’en rivalisant avec « l’incapacité » de l’autre, qui peut être elle-même temporaire.
On admet en principe reconnu par la nature de l’homme, que l’on se valorise par rapport au « mieux », et non pas au « moins bien. ».
De la même manière une personne qui se connaît « Moins bien, », qui attend ou recherche d’une autre personne « Mieux », le faire valoir « d’une erreur du Mieux », ne fait que déprécier son état de « Moins bien », en « Mauvais », dans le sens médiocre, ce qui préjuge également d’un trouble de l’individu.
En quoi à nouveau est-ce un trouble ou une débilité ? C’est aussi « trouver son l’image » ou rivaliser avec l’erreur de l’autre, le faux, le « pas Bon ».
Pour terminer, l’identification « à », lorsque l’on cherche « à être » par mimétisme ce que le « Mieux » est, est sujet à débat, en particulier là où le « différent personnel » s’efface devant le mimétisme.
C’est l’exemple de la « franche rigolade », avec l’intention « de », de celui qui suggère, à un ouvrier de déjeuner régulièrement au Ritz, ou de son difficile achat d’un vélo.
En quoi est-ce une débilité légère ? C’est l’équivalent d’un rire sans raison, d’une personne qui ne peut « trouver sa propre image », sa valorisation, qu’en rivalisant avec « l’incapacité » de l’autre, qui peut être elle-même temporaire.
On admet en principe reconnu par la nature de l’homme, que l’on se valorise par rapport au « mieux », et non pas au « moins bien. ».
De la même manière une personne qui se connaît « Moins bien, », qui attend ou recherche d’une autre personne « Mieux », le faire valoir « d’une erreur du Mieux », ne fait que déprécier son état de « Moins bien », en « Mauvais », dans le sens médiocre, ce qui préjuge également d’un trouble de l’individu.
En quoi à nouveau est-ce un trouble ou une débilité ? C’est aussi « trouver son l’image » ou rivaliser avec l’erreur de l’autre, le faux, le « pas Bon ».
Pour terminer, l’identification « à », lorsque l’on cherche « à être » par mimétisme ce que le « Mieux » est, est sujet à débat, en particulier là où le « différent personnel » s’efface devant le mimétisme.