La formation pour devenir lecteur/correcteur
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Formacom, comme je l'ai dit et écrit à maintes reprises, est la meilleure et la plus complète formation de correcteurs, et la seule qui soit validée par un diplôme reconnu par l'État. De nombreux organes de presse et de nombreuses maisons d'édition connaissent et apprécient cette formation, et peuvent privilégier un correcteur qui l'a suivie.
La sélection n'est pas si rude que cela, si l'on se prépare bien au test (qui est effectivement difficile, je pense qu'il est impossible de faire un sans fautes).
Mais si vous êtes à Lyon et que vous n'avez pas la possibilité de venir passer six mois à Paris, il ne vous reste, effectivement, que le CEC. Mais pourquoi pas.
Quant au prix... Difficile de dire ce qui est raisonnable et ce qui ne l'est pas ! Formacom est cher, mais peut être financé par un Fongecif.
Si vous voulez devenir correctrice, commencez par soigner vos écrits :
"...qui ont enfin aboutis à une première publication..." Ce "s" est très laid ! Plus des fautes de ponctuation (par exemple, la virgule devant "qui ont enfin abouti" est fautive) et de tournures de phrase.
La sélection n'est pas si rude que cela, si l'on se prépare bien au test (qui est effectivement difficile, je pense qu'il est impossible de faire un sans fautes).
Mais si vous êtes à Lyon et que vous n'avez pas la possibilité de venir passer six mois à Paris, il ne vous reste, effectivement, que le CEC. Mais pourquoi pas.
Quant au prix... Difficile de dire ce qui est raisonnable et ce qui ne l'est pas ! Formacom est cher, mais peut être financé par un Fongecif.
Si vous voulez devenir correctrice, commencez par soigner vos écrits :
"...qui ont enfin aboutis à une première publication..." Ce "s" est très laid ! Plus des fautes de ponctuation (par exemple, la virgule devant "qui ont enfin abouti" est fautive) et de tournures de phrase.
… pour viser le sans-faute, alors ?Catherine_75 a écrit :La sélection n'est pas si rude que cela, si l'on se prépare bien au test (qui est effectivement difficile, je pense qu'il est impossible de faire un sans fautes).
Si vous voulez devenir correctrice, commencez par soigner vos écrits :
"...qui ont enfin aboutis à une première publication..." Ce "s" est très laid ! Plus des fautes de ponctuation (par exemple, la virgule devant "qui ont enfin abouti" est fautive) et de tournures de phrase.
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Pour viser le sans-fautes (avec un "s", parce qu'il peut y avoir plusieurs fautes ! "Une chemise sans manches", parce que si elle en avait, elle aurait deux manches, mais "un outil sans manche" parce qu'il ne peut avoir qu'un manche), il faut se plonger dans les livres de grammaire, Grévisse et autres, dans le Thomas, savoir sans hésitation toutes les conjugaisons et connaître parfaitement la concordance des temps, aiguiser son œil en cherchant les fautes dans la presse et ailleurs, et lire, lire, lire... (car il y a des questions de culture générale).Porcile a écrit : … pour viser le sans-faute, alors ?
Mais faire un parcours sans fautes au test de Formacom signifierait que vous n'avez pas besoin de la formation, que vous êtes déjà un excellent correcteur ! Et les gens de Formacom le savent pertinemment.
Ah... Je ne crois pas...Pour viser le sans-fautes (avec un "s", parce qu'il peut y avoir plusieurs fautes !
Un parcours sans fautes (effectivement, il peut y avoir plusieurs fautes), mais un sans-faute est noté invariable dans tous les dictionnaires. En tout cas, dans les Larousse, Robert et Jouette...
fautes de ponctuation (par exemple, la virgule devant "qui ont enfin abouti" est fautive)
Le terme n'est-il pas un peu fort ? J'aurais juste tendance à dire que cette virgule est superflue.
Mais revenons-en à la question posée.
Formacom est une école qui, en plus de dispenser une formation de grande qualité, ouvre beaucoup de portes. Malheureusement, il faut être à Paris pour bénéficier de l'enseignement. Je connais des provinciaux qui ont déménagé pendant les six mois d'apprentissage et qui sont rentrés chez eux après les examens de validation de compétences.
Le problème pour eux a été de trouver du travail dans leur région. Mais ça, c'est une autre histoire.
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Je m'inclineTamagoshi a écrit :Ah... Je ne crois pas...Pour viser le sans-fautes (avec un "s", parce qu'il peut y avoir plusieurs fautes !
Un parcours sans fautes (effectivement, il peut y avoir plusieurs fautes), mais un sans-faute est noté invariable dans tous les dictionnaires. En tout cas, dans les Larousse, Robert et Jouette...

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Oui, tu as raison, il faut lire, lire et encore lire. Tout et n'importe quoi. Du Monde diplomatique aux affiches publicitaires.Olivier Ourlé a écrit :Salut Catherine,
Si je peux en rajouter (en toute amitié, bien sûr)…
lire... (car il y a des questions de culture générale).
> lire... (Car il y a des questions de culture générale.)
Sans oublier les enseignes des magasins, comme "Mr Bricolage".Catherine_75 a écrit :Oui, tu as raison, il faut lire, lire et encore lire. Tout et n'importe quoi. Du Monde diplomatique aux affiches publicitaires.Olivier Ourlé a écrit :Salut Catherine,
Si je peux en rajouter (en toute amitié, bien sûr)…
lire... (car il y a des questions de culture générale).
> lire... (Car il y a des questions de culture générale.)

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Bien sûr qu'il faut toujours avoir un regard critique, le "quand même" me semble superflu.Arwenia a écrit : En parlant des affiches publicitaires et des journaux, j'ai parfois remarqué des fautes dessus... Il faut lire et garder un oeil critique quand même.
Il reste toujours des fautes dans la presse (il y a ici une discussion "perles de journalistes" qui en parle), alors, sur les affiches publicitaires, n'en parlons même pas.
Bonne chance pour la formation, Arwenia.
Re: La formation pour devenir lecteur/correcteur
Arwenia a écrit :Bonjour,
Nous avons déjà intéressé deux maisons d'édition à compte d'éditeur qui attendent nos oeuvres.
Arwenia
Bonjour Arwenia,
Corriger, c'est tout ce que l'on vous a dit jusqu'à maintenant, les fautes, les virgules, Grevisse et compagnie… Mais c'est aussi s'assurer de la cohérence des informations (dans l'édition comme dans la presse). Ainsi les maisons d'édition qui s'intéressent à vous doivent-elles plutôt proposer des formules à "compte d'auteur", non ?
Bienvenue
Cordialement
petifolio
Petifolio, non, ce n'est pas une maison à compte d'auteur, nous connaissions le piège. Nous avons bien cherché une maison d'édition à compte d'éditeur[/quote]
Merci Arwenia pour cette réponse à une question rédigée "au crayon dans une bulle"…
C'est bien de ça qu'il s'agit : ‘L'écrivain publié à compte d'éditeur jouit d'un certain prestige : celui d'avoir été accepté par un comité de lecture, celui d'avoir été sélectionné, celui d'être le meilleur parmi les meilleurs. Il jouit également d'un régime fiscal et social particulier.
L'auteur est payé pour être édité
L'auteur cède ses droits, tous ses droits (y compris les droits d'adaptation, par exemple si un film est réalisé à partir du livre). En contrepartie, il ne débourse rien, ni frais de composition, d'impression, de distribution, de publicité. De surcroît, il bénéficie d'une rémunération en "droits d'auteur", proportionnelle au nombre de livres vendus et versée sous forme de pourcentage (environ 10 % de la valeur hors taxe du livre).”
http://portaildulivre.com/fisccomptediteur.htm
Bon courage pour la suite de vos aventures.
Cordialement,
petifolio
Merci Arwenia pour cette réponse à une question rédigée "au crayon dans une bulle"…
C'est bien de ça qu'il s'agit : ‘L'écrivain publié à compte d'éditeur jouit d'un certain prestige : celui d'avoir été accepté par un comité de lecture, celui d'avoir été sélectionné, celui d'être le meilleur parmi les meilleurs. Il jouit également d'un régime fiscal et social particulier.
L'auteur est payé pour être édité
L'auteur cède ses droits, tous ses droits (y compris les droits d'adaptation, par exemple si un film est réalisé à partir du livre). En contrepartie, il ne débourse rien, ni frais de composition, d'impression, de distribution, de publicité. De surcroît, il bénéficie d'une rémunération en "droits d'auteur", proportionnelle au nombre de livres vendus et versée sous forme de pourcentage (environ 10 % de la valeur hors taxe du livre).”
http://portaildulivre.com/fisccomptediteur.htm
Bon courage pour la suite de vos aventures.
Cordialement,
petifolio
Bonjour,
Selon les niveaux de chacun, on peut aussi apprendre, réviser et s'amuser de façon ludique :
http://www.ccdmd.qc.ca/fr/jeux_pedagogiques/?id=80
http://www.ccdmd.qc.ca/fr/jeux_pedagogiques/?id=75
http://www.ccdmd.qc.ca/fr/exercices_interactifs/
Mon préféré http://www.ccdmd.qc.ca/fr/jeux_pedagogiques/?id=98
Mes quatre liens préférés pour "glander" intelligemment devant la télé ou sur ma terrasse ensoleillée.

Selon les niveaux de chacun, on peut aussi apprendre, réviser et s'amuser de façon ludique :
http://www.ccdmd.qc.ca/fr/jeux_pedagogiques/?id=80
http://www.ccdmd.qc.ca/fr/jeux_pedagogiques/?id=75
http://www.ccdmd.qc.ca/fr/exercices_interactifs/
Mon préféré http://www.ccdmd.qc.ca/fr/jeux_pedagogiques/?id=98
Mes quatre liens préférés pour "glander" intelligemment devant la télé ou sur ma terrasse ensoleillée.

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Eric, je viens de passer deux heures sur tes liens !
Pas mal, mais je ne suis pas d'accord avec certaines réponses.
Exemples :
- titre d'un livre avec une majuscule au premier mot "Le petit prince". Non : il faut écrire soit "Le Petit Prince" soit "le Petit Prince" (majuscule au premier nom sauf articles définis, et à l'adjectif s'il est placé avant le nom. On peut aussi mettre une majuscule à l'article défini, mais ce n'est pas obligatoire) ;
- majuscule à "Société X", "Service financier". Non, il n'y a aucune raison de mettre une majuscule.
Cela vient peut-être du fait qu'il s'agit d'un site québécois.
Pas mal, mais je ne suis pas d'accord avec certaines réponses.
Exemples :
- titre d'un livre avec une majuscule au premier mot "Le petit prince". Non : il faut écrire soit "Le Petit Prince" soit "le Petit Prince" (majuscule au premier nom sauf articles définis, et à l'adjectif s'il est placé avant le nom. On peut aussi mettre une majuscule à l'article défini, mais ce n'est pas obligatoire) ;
- majuscule à "Société X", "Service financier". Non, il n'y a aucune raison de mettre une majuscule.
Cela vient peut-être du fait qu'il s'agit d'un site québécois.