Au doute il peut apporter des réponses rapides ; à la fatigue, l'épargner. Vous dites vous-même gagner beaucoup de temps en utilisant les remplacements automatiques.Catherine_75 a écrit :Un outil, quel qu'il soit, ne sert à rien face au doute du correcteur, à la fatigue, etc.
Les éditeurs ne leur en reconnaissaient pas le droit. Mais, sachant les erreurs peu évitables, ils prenaient soin de faire vérifier les textes autant de fois qu'ils le jugeaient nécessaire.Oui, mais ça n'a aucun rapport avec mon propos.
« les éditeurs reconnaissaient aux correcteurs le droit à l'erreur ».
De longues années d'exercice exclusif du métier m'ont appris à les connaître. Je me suis toujours senti libre de négocier, d'accepter un travail ou de le refuser.J'ai l'impression que vous n'êtes pas — plus ? — informé des pratiques de certains "employeurs".
Je ne doute pas de votre savoir-faire. Il n'en est peut-être pas de même de tous ceux qui nous lisent.Je connais par cœur les remplacements automatiques,
Je ne m'en réjouis pas moins de votre ‹ cordialement › qu'en retour je vous exprime confraternellement.