PRODUCTIVIX a écrit :Bonjour,
si je peux me permettre, étant dans une autre profession (le conseil) sans tarifs affichés, avec des prix d'un facteur de 1 à 5, je rencontre des concurrents aux tarifs bas : ils sont généralement de passage et cherchent un job en fait. (Il y a pire : les subventions du gouvernement qui divise par 10 les prix, mais je n'en parle pas ici).
Plus globalement, et d'un point de vue marketing, il plusieurs moyens d'afficher des prix bas en pouvant les remonter : - indiquer comme vous le faisiez, que c'est adressé à une catégorie particulière de clientèle (ici les étudiants),
- limiter dans le temps la "promotion",
- limiter dans l'espace, si la prestation est sujet à déplacements par ex.
Cela fait parler de vous, mais pas forcément en "par cher".
En tant que TNS (conseil éditorial, suivi de projet, rédaction, secrétariat de de rédaction, la totale quoi...), je n'affiche pas non plus mes "tarifs". Je considère que chaque prestation est unique et doit faire l'objet d'un devis personnalisé. Je demande donc à mes prospects et clients de bien m'expliquer leurs besoins et demandes afin de pouvoir leur établir le devis le plus juste. C'est un boulot de commercial en fait.
J'ai des "barèmes perso" qui m'aident à établir ces devis (prix de journée, prix au feuillet avec ou sans interviews, avec ou sans déplacements, prix au feuillet pour de la "simple réécriture" ou pour du SR...).
Cela me prend un peu de temps, mais ça vaut le "coût".

Il n'est pas rare (pour ne pas dire courant à) que l'on me demande de "faire un geste"... Et je fais, en général, ce "geste" en disant à mon client : "C'est bien parce que c'est vous".
Alors évidemment, si je suis au ras de pâquerette dans mes devis initiaux, je serai carrément sous la terre au moment de la facturation finale.