Bonjour,
J'en suis à mes balbutiements de rédaction de synopsis et de propositions de sujets, et je me pose cette question cruciale :
Est-il plus judicieux de contacter d'abord les personnes que nous souhaitons interviewer pour un article pour savoir si elles sont disponibles, au risque de leur annoncer ensuite que cela ne se fera pas (si on n'a pas trouvé de magazine intéressé), ou de proposer d'abord le sujet au magazine, en sachant que les personnes envisagées pour des interviews pourront être rencontrées après (proximité, présence sur un festival) ?
Je pense qu'il n'y a pas de règle générale, mais qu'en pensez-vous ?
Que vous a appris votre expérience sur ce sujet ? Merci pour vos éclaircissements.
Lulamae
Qui contacter en premier ?
Salut,
Je dirais que ça dépend des circonstances :
- les personnes qu'on souhaite interviewer sont-elles assez joignables, et a priori favorables à ce qu'on parle d'elles ? Dans ce cas, on peut contacter d'abord le journal. Sinon, préférer un premier contact rapide avec le futur interviewé pour un accord de principe, quitte à lui dire que l'article n'est pas certain
- pour une première collaboration avec un journal, mieux vaut arriver avec des sujets "bétonnés", donc être sûr que l'interview pourra se faire. Pour les collaborations suivantes, on peut être moins rigide
- cela dépend aussi de l'urgence et de la périodicité du journal auquel on propose : un mensuel aura davantage la possibilité de se retourner en cas d'interviewé qui se défausse qu'un hebdo ou quotidien
- et puis bien sûr, le feeling joue.
Dans tous les cas, prévenir le journal dès qu'on pressent un problème, pour ne pas le planter au dernier moment.
Je dirais que ça dépend des circonstances :
- les personnes qu'on souhaite interviewer sont-elles assez joignables, et a priori favorables à ce qu'on parle d'elles ? Dans ce cas, on peut contacter d'abord le journal. Sinon, préférer un premier contact rapide avec le futur interviewé pour un accord de principe, quitte à lui dire que l'article n'est pas certain
- pour une première collaboration avec un journal, mieux vaut arriver avec des sujets "bétonnés", donc être sûr que l'interview pourra se faire. Pour les collaborations suivantes, on peut être moins rigide
- cela dépend aussi de l'urgence et de la périodicité du journal auquel on propose : un mensuel aura davantage la possibilité de se retourner en cas d'interviewé qui se défausse qu'un hebdo ou quotidien
- et puis bien sûr, le feeling joue.
Dans tous les cas, prévenir le journal dès qu'on pressent un problème, pour ne pas le planter au dernier moment.
Ma méthode
Quand je suis sûr de mon coup, j'appelle le magazine en premier...
Sinon, j'appelle d'abord la personne : si elle est suffisemment médiatisable, je pourrai toujours trouver preneur.
Sinon, j'appelle d'abord la personne : si elle est suffisemment médiatisable, je pourrai toujours trouver preneur.